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Où les Européens iront-ils en voyage cet été?

L'Italie, la France et l'Espagne restent les destinations les plus attrayantes en Europe... et pour les Français qui privilégieront largement leur pays puis l'Espagne
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Les retombées positives des JO 2024 sur la France sont mieux perçues à l’étranger

Publié Par Emmanuel Charonnat Sur Dans International,Médias,Veille Médias | Pas de commentaire
Sur l'ensemble des pays sondés, les sports qui attirent le plus sont l’athlétisme, le football, la gymnastique et la natation, suivis du tennis et du basket-ball
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Divertissements, marques, conso… l’influence de la culture américaine en Europe

Publié Par Emmanuel Charonnat Sur Dans International,Marketing,Médias,Veille Marketing,Veille Médias | Pas de commentaire

Dans la majorité des catégories et domaines testés, les Français sont les plus nombreux à juger l’américanisation trop forte

YouGov publie une étude européenne sur l’influence culturelle américaine, réalisée en juin 2022. Les populations des 5 grands pays européens (UK, Allemagne, France, Italie et Espagne) ont été sondées sur leur perception de cette influence dans plusieurs domaines : quelle est son degré ? cette influence est-elle trop forte?
Toutes les populations sondées considèrent majoritairement que cette influence est forte ou modérée, concernant les films (66% à 83%), la télévision (59% à 78%) et la musique (60% à 70%).
. Sur les 5 pays étudiés, les Français se sentent les plus influencés par la culture américaine pour la TV (78%) et pour la musique (70%), les Britanniques pour les films (83%).
. 49% des Français et 55% des Britanniques estiment que l’influence est trop forte pour les films,
. Les Français sont les plus nombreux à trouver que l’influence est trop forte pour la TV (45%) et pour la musique (34%).

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Comme pour la télévision et la musique, les Français sont les plus nombreux à considérer que la culture américaine se réflète dans les médias de leur pays, avec un taux de 65% contre 47% (Grande-Bretagne) et Italie (60%). Et ils sont de loin les plus nombreux à penser que cette influence est trop forte : 32% vs 12% à 18% dans les autres pays.

[5]

Cette défiance française envers la culture américaine rejaillit également sur les marques :
. 68% des Français déclarent que la culture américaine influence les marques que les consommateurs achètent et 33% que cette influence est trop forte (vs 18% à 24% dans les autres pays).

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Même dans le secteur de la mode, les Français sont les plus nombreux à juger l’américanisation trop forte, mais à un niveau moindre : 19%, alors que 48% estiment que cette influence est forte ou modérée.

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Les Français sont les plus nombreux à juger l’américanisation trop forte dans 7 des 11 catégories testées. Mais un domaine échappe à la règle : la nourriture, seule catégorie testée où la France arrive en dernier. Seuls 29% des Français estiment qu’il existe une influence américaine dans ce domaine te 7% qu’elle est trop forte.

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Méthodologie:
. Etude Omnibus réalisée du 9 au 26 juin 2022 auprès de 6 829 adultes dans 5 pays (France, Italie, Espagne, Grande-Bretagne, Allemagne).
. Chaque échantillon est représentatif de la population nationale, selon la méthode des quotas.

Emmanuel Charonnat


Ce qu’il faut retenir

. Les populations des 5 grands pays européens considèrent majoritairement que l’influence US est forte ou modérée, concernant les films (66% à 83%), la télévision (59% à 78%) et la musique (60% à 70%)

. Les Français sont les plus nombreux à juger l’américanisation trop forte dans 7 des 11 catégories testées:  la TV, la musique, les médias, les marques, la mode…

. Les Français sont les moins nombreux à juger l’américanisation trop forte dans une seule catégorie: la nourriture


Lire aussi :

. Comment les Américains voient les Français et Paris [9] (mars 2023)

Paris, Londres, Berlin, Madrid … où fait-il bon travailler? [10] (décembre 2022)

Un Français sur deux pourrait envisager d’aller vivre au Portugal [11] (septembre 2022)

Paris vs Londres : la perception des habitants en 10 comparaisons [12] (septembre 2021)

. Dix insights sur l’image de l’Allemagne en France [13] (janvier 2019)

L’attractivité de la France auprès des entreprises étrangères continue de se renforcer [14] (novembre 2018)

La France 2ème dans le classement des pays selon leur image de marque [15]  (novembre 2017)


Accès à l’étude de YouGov [16]

Comment les Américains voient les Français et Paris

Publié Par Emmanuel Charonnat Sur Dans International,Médias,Veille Médias | Pas de commentaire

Pour la très grande majorité des Américains ayant vu la série «Emily in Paris», l’image de Paris et de ses habitants que renvoie la série est proche de la réalité

Alors que la 3e saison de la série «Emily in Paris» a été lancée en décembre dernier sur Netflix, l’Ifop a réalisé en janvier une étude, pour Bonjour New York, sur le regard des Américains sur les Français et Paris.
Selon l’Ifop, l’image des Français aux Etats-Unis s’est considérablement améliorée en une quinzaine d’années avec une cote de popularité presque deux fois plus élevée cette année (73%) qu’en 2007 (39%). Et cette cote semble boostée par «Emily in Paris» si l’on en juge par la proportion de téléspectateurs de cette série qui ont une très bonne image des Français: 47%, soit trois plus que dans les rangs des Américains n’ayant pas vu la série (17%).

[17]

Ce regain de francophilie transparaît aussi dans le nombre record d’Américains qui aimeraient actuellement «vivre en France»: plus d’un sur trois (36%) aujourd’hui alors qu’ils étaient 21% en 2005, au lendemain de la crise irakienne qui avait jeté un coup de froid entre les deux pays.
Par ailleurs, 28% des Américains de 18 à 65 ans aimeraient «travailler en France».

[18]

«Principal point de repère pour une population américaine qui n’a pas une grande culture géographique, Paris y bénéficie d’une forte attractivité y compris pour des longs séjours…», souligne l’Ifop. En effet, si les trois quarts des Américains aimeraient passer un court séjour à Paris (75%), la perspective de suivre les pas d’Emily en y passant une année en attire aussi près de la moitié (44%), notamment chez les plus jeunes, les plus urbains, les électeurs démocrates (48% contre 28% des Républicains), les plus diplômés (46%) et les personnes se définissant comme très progressistes (55%).

[19]

Comme le montre ce sondage, les Américains tordent le cou aux clichés dont nous pourrions penser qu’ils nous affublent. Ainsi nous imaginent-ils bien plus cultivés (54%), raffinés (57%) et accueillants (53%) que râleurs (25%), malodorants (20%) ou paresseux (13%).
Nous avons certes à leurs yeux une certaine inclinaison à la prétention (33% le pensent) mais sommes moins séducteurs (32% approuvent) que la réputation du French Lover pourrait le laisser croire.

[20]

Si la grande majorité des Américains nous voient comme romantiques (71%) et notamment les téléspectateurs de la série (77%), ces derniers sont aussi 66% à penser que les femmes et les hommes ont facilement un rapport sexuel le premier soir contre 42% chez ceux qui n’ont pas regardé «Emily in Paris».

[21]

Si dans son ensemble, la majorité de la population américaine ne tombe pas dans le cliché d’un Paris aseptisée, ce n’est pas le cas de ceux qui ont vu «Emily in Paris»: la majorité des téléspectateurs s’étant exprimés sur le sujet supposent par exemple que «Paris est une ville propre» (67%), «ce qui peut s’avérer cocasse quand on sait qu’à peine 16% des Parisiens partagent ce point de vue», commente l’Ifop.

[22]

La représentation idyllique de la ville-lumière véhiculée par Netflix n’est pas quelque chose de factice pour la plupart des Américains ayant vu la série, soit près d’un tiers de la population américaine âgée de 18 ans et plus. En effet, pour 83% des Américains ayant vu la série, l’image de Paris et de ses habitants que renvoie la série «Emily in Paris» est proche de la réalité.

[23]

Méthodologie:
. L’enquête a été menée en langue anglaise, en ligne du 18 au 20 janvier 2023, auprès d’un échantillon de 1113 personnes, représentatif de la population américaine âgée de 18 ans et plus.
. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle de la personne interrogée, race) après stratification par région.


Ce qu’il faut retenir

. Le taux de popularité des Français aux Etats-Unis est presque deux fois plus élevée cette année (73%) qu’en 2007 (39%), grâce, semble-t-il, à la série «Emily in Paris»

. 36% des Américains aimeraient «vivre en France» et 28% des Américains de 18 à 65 ans aimeraient «travailler en France»

. Si 75% des Américains aimeraient passer un court séjour à Paris, 44% y passeraient bien une année entière

. Les américains nous imaginent bien plus cultivés (54%), raffinés (57%) et accueillants (53%) que râleurs (25%), malodorants (20%) ou paresseux (13%)

. Pour 83% des Américains ayant vu la série, l’image de Paris et de ses habitants que renvoie la série «Emily in Paris» est proche de la réalité


Lire aussi :

. Paris, Londres, Berlin, Madrid … où fait-il bon travailler? [10] (décembre 2022)

. Quels sont les atouts de la France pour l’avenir et dans quels acteurs les Français ont-ils confiance? [24] (novembre 2022)

. Grand Paris : les transports en commun et les espaces verts au coeur des attentes des franciliens [25] (septembre 2022)

. Un Français sur deux pourrait envisager d’aller vivre au Portugal [11] (septembre 2022)

Télétravail : bon alors… Paris c’est fini? [26] (juin 2022)

La France a toujours beaucoup d’atouts mais manque de confiance en elle [27] (mars 2022)

Près de la moitié des Français estiment que la France est en déclin [28] (septembre 2021)

Paris vs Londres : la perception des habitants en 10 comparaisons [12] (septembre 2021)

Comment la crise a changé la façon dont les Français perçoivent leur pays [29] (mai 2020)

L’attractivité de la France auprès des entreprises étrangères continue de se renforcer [14] (novembre 2018)

La satisfaction des entreprises étrangères envers la France est à son plus haut niveau [30]  (juin 2018)

Quels sont les atouts de la France dans la mondialisation ? [31] (avril 2018)

Quels sont les quartiers préférés des Parisiens ? [32] (février 2018)

La France 2ème dans le classement des pays selon leur image de marque [15]  (novembre 2017)

Les Parisiens aiment Paris mais veulent la quitter [33] (octobre 2017)

Business international : Paris monte sur le podium des métropoles les plus attractives [34]  (juillet 2017)


Accès à l’étude Ifop [35]

Accès à l’article de Bonjour New York [36]

Les CSP+ devant la télé en journée: un effet secondaire du Covid et du télétravail

Publié Par Emmanuel Charonnat Sur Dans International,Marketing,Médias,Veille Médias | Pas de commentaire
La durée d'écoute TV baisse moins en France que dans les autres grands pays occidentaux
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Data : pourquoi la protection de la vie privée des consommateurs est cruciale pour les partenariats data à long terme entre l’UE et les USA

Publié Par Emmanuel Charonnat Sur Dans Digital,International,Marketing,Public,Veille Digital,Veille Marketing | Pas de commentaire

Une tribune de Husna Grimes, VP of Global Privacy chez Permutive
CB Expert focus techno en partenariat avec Ratecard

Récemment publié par la Maison Blanche, le très attendu décret pour la mise en œuvre du cadre sur la protection des données entre l’Union Européenne et les Etats-Unis semble à première vue être un véritable pas en avant. Mais en réalité, ce n’est que le début d’un très long processus. Alors que les flux de données constituent une grande partie de la relation économique entre les États-Unis et l’Union européenne, qui s’élève à 7 100 milliards de dollars, il est peu probable que ce cadre échappe aux recours des tribunaux de l’UE. Son avenir reste donc incertain.

Par le passé, les disparités entre le droit américain et le droit européen ont engendré une grande confusion, un accès limité aux fournisseurs de services et des recours juridiques plus réguliers, ce qui a entraîné des coûts plus élevés pour les entreprises concernées. Ce décret a été présenté comme une solution potentielle pour mettre fin à ces problèmes, mais nous assistons déjà à des recours avant même que la Commission européenne n’ait rendu sa décision d’adéquation.

À quoi faut-il donc nous attendre dans les mois, voire les années à venir?

[38]Les prochaines étapes

À ce stade, il est probable que la Commission européenne évalue ce cadre, ainsi que les règlements émis par le Procureur Général, et propose un projet de décision d’adéquation. Dans le cadre du processus d’adoption de ce projet, la Commission européenne obtiendra également un avis (non contraignant) du Comité Européen de la Protection des Données (EDPB) et l’approbation des États membres de l’UE. Ce n’est qu’après cela qu’elle examinera s’il convient d’adopter la décision finale d’adéquation. Il faudra sans doute attendre mars 2023 au plus tôt pour que cette décision soit mise en œuvre.

Malgré tout, le cadre de protection des données entre l’UE et les États-Unis peut encore être contesté devant les tribunaux après l’adoption de la décision d’adéquation. Des débats sont notamment en cours dans la communauté autour de la protection des données pour savoir si le décret offre ou non un recours efficace aux personnes concernées, ou s’il s’agit d’un système suffisant, étant donné qu’il n’a pas force de loi et qu’il pourrait être révoqué par un futur président. C’est ce que soutiennent des groupes comme noyb.eu, une organisation à but non lucratif pour les droits numériques, qui déclare publiquement sur son site web que ce décret a peu de chances de convenir au droit européen.

Désormais, les autorités chargées de la protection des données (APD) s’en mêlent même également, l’APD du Land allemand de Baden-Wuerttemberg s’étant demandé fin octobre si les protections supplémentaires prévues par le décret étaient suffisantes pour répondre aux normes spécifiées par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) dans l’arrêt Schrems II.

Par ailleurs, il sera également intéressant de voir si toute décision des tribunaux de l’UE invalidant l’arrangement serait suivie au Royaume-Uni. Les entreprises opérant au Royaume-Uni pourraient être confrontées à un autre ensemble de réglementations dans lesquelles elles devront opérer, mais on ne sait pas à quel point ses règles seront éloignées de celles du RGPD, suite aux récentes annonces du gouvernement. Si le Royaume-Uni et l’UE ne sont pas d’accord sur la décision d’adéquation des États-Unis, la situation n’en sera que plus compliquée. Tout cela s’ajouterait à la fameuse “paperasserie” dont le Royaume-Uni a l’intention de se débarrasser.

Ce qui est clair, c’est que les entreprises ont besoin de plus de certitude quant à la manière dont elles peuvent transférer des données personnelles vers les États-Unis. Les régulateurs et les tribunaux de l’UE n’ont aucun intérêt à empêcher la libre circulation des données. Il y aura tôt ou tard une réponse capable de satisfaire la CJUE et qui ne soit pas uniquement considérée comme une solution temporaire.

Néanmoins, au centre de toute réglementation en matière de protection des données se trouve évidemment le consommateur. Quel que soit l’avenir de la protection des données au Royaume-Uni, dans l’Union européenne et aux États-Unis, c’est la protection de la vie privée des consommateurs qui devrait être la première préoccupation derrière toute décision.

Vie privée des consommateurs

Une récente étude [39] menée par Harris Poll pour le compte de Permutive, a révélé que 89% des consommateurs, tant au Royaume-Uni qu’aux États-Unis, sont plus enclins à dépenser auprès d’une marque qui s’engage à protéger leurs données personnelles. Encore plus édifiant, 75% des consommateurs ne sont pas à l’aise avec l’idée d’acheter auprès d’une marque qui possède une éthique médiocre en matière de données. Ceci prouve qu’une nouvelle ère de la vie privée est en train d’émerger: une ère où les consommateurs œuvrent pour protéger la confidentialité de leurs données et poussent par conséquent les gouvernements et les marques à réagir.

Il est du devoir des personnalités politiques clés, présentes des deux côtés de l’Atlantique, de s’assurer qu’elles répondent aux nouvelles exigences en matière de confidentialité des données. Les consommateurs sont chaque jour plus conscients des moyens dont ils disposent pour se protéger, eux et leurs données, et les gouvernements doivent mettre en place les mécanismes les plus appropriés pour les guider.

Bien que l’équilibre soit difficile à trouver pour les gouvernements, ils doivent travailler ensemble pour refléter l’opinion des consommateurs et permettre aux annonceurs et aux éditeurs de donner la priorité à la protection de la vie privée, tout en veillant à ne pas empêcher la croissance des entreprises par des lois inutilement strictes en la matière.

Husna Grimes,
VP of Global Privacy chez Permutive

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en partenariat avec
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Lire aussi :

. tous les Focus Techno en partenariat avec Ratecard [42]

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Prévisions pub de Dentsu : les Etats-Unis et l’Inde tirent la croissance de 2022

Publié Par Emmanuel Charonnat Sur Dans International,Marketing,Veille Marketing | Pas de commentaire
La France recueillerait les meilleurs taux de croissance du Big 5 européen pour 2022, 2023 et 2024
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Retour à la normale pour les voyages ? Les Français sont très partagés

Publié Par Emmanuel Charonnat Sur Dans International,Marketing,Veille Marketing | Pas de commentaire
En Europe, les Italiens, les Espagnols et les Portugais sont les plus disposés à organiser leurs voyages de manière plus durable et plus respectueuse
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Publié Par Emmanuel Charonnat Sur Dans International,Marketing,Veille Marketing | Pas de commentaire
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